Chers amis, voici du contenu utile qui peut répondre à plusieurs de vos questions.
Voici les sujets abordés :
- Le déploiement de la vaccination
- Autorisation de changement d’étiquette de Santé Canada pour le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19
- Test de variantes étrangères
- Nouvelles règles pour les voyageurs
- Travailleurs autonomes ayant demandé le CERB
- Allègement des intérêts sur la dette d’impôt sur le revenu de 2020 attribuable au soutien du revenu lié au COVID-19
- Annonce de financement du transport en commun
Nous avons rédigé ce contenu sous forme de questions et réponses.
Quand et où serai-je vacciné?
La semaine dernière était la dernière semaine du ralentissement de Pfizer et les vaccins entreront à nouveau dans le pays en plus grand nombre cette semaine. La vaccination dans la communauté en commençant par les 80 ans et plus devrait donc commencer sous peu.
Les vaccinations publiques seront effectuées dans l’ordre de priorité suivant, tel que déterminé par le gouvernement du Québec :
- 80 ans et plus
- 70 à 79
- 60 à 69
- Adultes de moins de 60 ans présentant un risque de complications découlant de la COVID-19
- Travailleurs essentiels et autres travailleurs de la santé
- Autres adultes
Pour en savoir plus sur la vaccination dans notre région consultez la page suivante du CIUSSS Montérégie Centre : https://www.santemonteregie.qc.ca/centre/nouvelles/la-vaccination-des-residents-des-chsld-contre-la-covid-bientot-terminee-en
Pourquoi sommes-nous si bas sur la liste des vaccins par habitant ? Est-ce temporaire ou permanent ? Pourquoi a-t-il eu un retard dans l’administration des vaccins et quand est-ce que le Canada s’attend-il à ce que le nombre de vaccins livrés au Canada augmente ?
C’est temporaire. Il y a eu un ré outillage de quatre semaines à l’usine de Pfizer en Belgique et ils ont réduit les livraisons au cours de cette période. L’objectif était d’augmenter leur capacité. Cette semaine les vaccins Pfizer vont entrer de plus en plus au pays. Nous avons dit dès le départ qu’il y aurait 6 000 000 de doses au Canada d’ici le 31 mars et, comme vous le verrez dans les chiffres ci-dessous, nous sommes en bonne voie d’atteindre ce nombre promis.
La semaine dernière, le premier ministre a fait le point sur l’achat de vaccins par le Canada et, jeudi dernier, le major-général Dany Fortin, commandant militaire responsable de la logistique du vaccin COVID-19 au pays, a tenu une conférence de presse sur le sujet également.
Voici les principaux points des deux annonces :
Vaccin Pfizer :
403 000 doses du vaccin Pfizer dans la semaine du 15 février
475 000 doses du vaccin Pfizer dans la semaine du 22 février
444 000 doses dans la semaine du 1 mars
444 000 doses dans la semaine du 8 mars
Chiffres à confirmer pour les deux dernières semaines de mars, mais nous aurons reçu 4 000 000 doses du vaccin Pfizer d’ici la fin de mars. Le Canada recevra au total 10,8 millions de doses de Pfizer entre avril et juin, et les 23,2 millions de doses restantes de Pfizer arriveront au troisième trimestre. Avec Pfizer seulement, nous recevrons 40 millions de doses d’ici la fin de septembre.
Vaccin moderna :
Le prochain envoi moderna pour la semaine du 22 février comptera 168 000 doses. Le reste des 2 000 000 de doses qui n’ont pas encore été administrées au premier trimestre seront administrées en mars, et les dates exactes restent à confirmer. Nous recevrons au moins 9,2 millions de doses moderna entre avril et juin. En outre, les 40 000 000 de doses de moderna déjà achetées, nous avons acheté 4 millions de doses supplémentaires du vaccin moderna. Ces doses arriveront au cours de l’été.
Tous ceux qui souhaitent se faire vacciner le seront d’ici la fin de septembre. Bon nombre d’entre vous seront vaccinés au cours du prochain mois ou des deux prochains mois si vous faites partie d’un groupe prioritaire.
Bien que nous soyons tombés sur la liste par habitant en raison du ralentissement qui dure depuis un mois, nous allons rapidement grimper de nouveau sur la liste au fur et à mesure que d’autres vaccins arriveront et je vous encourage à attendre de voir la liste au 31 mars et encore une fois à la fin de chaque mois suivant et vous nous verrez grimper chaque mois et être beaucoup plus haut sur la liste mondiale.
Que se passe-t-il avec les autres candidats vaccins ? Les dates ci-dessus iront-elles de l’avant si nous approuvons d’autres vaccins ?
Oui. Au moins trois vaccins sont en phase d’approbation à Santé Canada, et tout indique que le vaccin Oxford en est aux toutes dernières étapes de son approbation. Nous avons déjà acheté 20 millions de doses d’Oxford et les premiers envois devraient arriver peu après l’approbation.
Compte tenu de la quantité de renseignements erronés qui circulent sur tant de questions, nous vous suggérons de lire l’entrevue avec le coprésident non partisan du Groupe de travail sur les vaccins du Canada, qui explique l’historique de son travail et réfute un certain nombre de rumeurs qui circulent (article en anglais) :
https://www.cbc.ca/news/politics/joanne-langley-task-force-covid-coronavirus-vaccine-1.5910452
Que signifie le changement d’étiquette de Santé Canada pour l’autorisation du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ?
La semaine dernière, Santé Canada a délivré une autorisation de modification de l’étiquette à Pfizer-BioNTech pour indiquer que chaque fiole de son vaccin COVID-19 contient six doses plutôt que cinq. Cela fait suite à un examen scientifique indépendant et approfondi d’une présentation reçue de Pfizer-BioNTech le 22 janvier 2021. Dans son examen, Santé Canada a déterminé qu’il est possible d’obtenir six doses complètes de façon uniforme à partir de flacons avec des seringues à faible volume.
Santé Canada avait déjà reconnu qu’avec la bonne technique et la bonne seringue, il est possible d’obtenir une sixième dose de la fiole. Santé Canada et d’autres organismes de règlementation internationaux exigent que les flacons de vaccin comprennent une certaine quantité de trop-plein pour s’assurer qu’il y a suffisamment de vaccin dans chaque flacon pour produire les doses prévues. Santé Canada a déterminé qu’il y aura encore une quantité acceptable de trop-plein à la suite du changement d’étiquette.
Bien que le changement d’étiquette entre en vigueur immédiatement, les expéditions du vaccin Pfizer-BioNTech aux provinces ont déjà commencé et sont calculées à cinq doses par fiole. Les livraisons futures du vaccin au Canada reflèteront la nouvelle monographie approuvée. Le gouvernement du Canada continuera de travailler avec les provinces pour veiller à ce qu’elles aient le soutien et les fournitures dont elles ont besoin pour assurer une mise en œuvre efficace.
Dans le cadre de cette autorisation de changement d’étiquette, Santé Canada a émis des modalités à Pfizer-BioNTech. Le fabricant est tenu de fournir un soutien éducatif continu aux sites d’administration des vaccins au Canada, au besoin, afin de faciliter la mise en œuvre du changement de l’étiquette de six doses par fiole, et de travailler en étroite collaboration avec Services publics et Approvisionnement Canada pour acquérir des seringues, au besoin. Une liste détaillée des modalités est disponible ici.
Nous comprenons que la mise à l’essai de variantes étrangères relève des provinces, mais que fait le gouvernement fédéral pour les aider ?
Nous avons annoncé que nous investirons 53 millions de dollars dans une stratégie intégrée pour lutter contre les variants préoccupants du virus de la COVID-19. Cela nous aidera à intensifier rapidement nos efforts de surveillance, de séquençage et de recherche.
Le gouvernement du Canada collabore avec les provinces et les territoires et le Réseau canadien de génomique COVID-19 (RCanGéCO) pour intensifier rapidement le séquençage et les efforts scientifiques afin de détecter les variants du virus de la COVID-19 connus et potentiellement émergents. Cette stratégie nationale associe la santé publique et le séquençage génomique à l’épidémiologie, l’immunologie, la virologie et la modélisation mathématique. Grâce à ce partenariat, nous tirons parti des laboratoires et de l’expertise existants pour enquêter et prendre rapidement des mesures de santé publique.
Le Laboratoire national de microbiologie (LNM) de l’Agence de la santé publique du Canada (ASPC), Santé Canada, Génome Canada et les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) participent à ce partenariat. Pour mettre en œuvre la Stratégie, le LNM de l’ASPC et RCanGéCO fournissent 20 millions et 8 millions de dollars respectivement pour accroître le séquençage génomique et la capacité de partage des données en temps réel. Les IRSC fournissent jusqu’à 25 millions de dollars pour intensifier la recherche canadienne afin de nous permettre de mieux comprendre les variants émergents et de fournir rapidement aux décideurs des conseils sur la pharmacothérapie, l’efficacité des vaccins et d’autres stratégies de santé publique.
Le financement élargira les réseaux de santé publique existants pour mettre en place des équipes régionales cliniques et de santé publique afin de détecter et de caractériser rapidement les variants préoccupants. Dans le cadre de la Stratégie, nous uniformiserons également le partage des données à l’échelle du Canada et faciliterons l’accès à l’information sur les variants à partir de bases de données nationales et internationales. Cet échange rapide de renseignements avec les chercheurs est essentiel pour assurer une réponse internationale efficace aux variants préoccupants. Dans le but de créer une équipe intégrée, le financement permettra également d’établir un réseau de recherche pour compléter les efforts de surveillance et les mesures de santé publique et fournir des renseignements clés sur la pertinence biologique des variants pour éclairer les décisions en matière de santé publique.
La Stratégie de lutte contre les variants préoccupants fait partie de notre réponse à la pandémie de COVID-19 fondée sur la science et les données probantes. À mesure que des variants préoccupants du virus de la COVID-19 continueront d’apparaître, le Canada sera prêt à détecter, suivre et traiter les nouveaux cas.
Pour se protéger mutuellement, les Canadiens devraient continuer d’appliquer les mesures de santé publique et subir un test de dépistage s’ils présentent des symptômes.
Je suis un snowbird et je ne sais pas ce que seront les nouvelles règles sur les retours aériens et terrestres. Pouvez-vous m’expliquer ?
À compter du 15 février 2021, tous les voyageurs arrivant au Canada par voie terrestre, à quelques exceptions près, seront tenus de fournir une preuve d’un résultat négatif au test moléculaire COVID-19 effectué aux États-Unis dans les 72 heures précédant leur arrivée OU une preuve d’un résultat positif au test dans les 14 et 90 jours précédant l’arrivée. Cela est conforme aux exigences déjà en place pour les voyageurs aériens. Les travailleurs essentiels comme les camionneurs et les fournisseurs de services d’urgence, ainsi que les collectivités transfrontalières, seront exemptés de cette exigence. De plus amples renseignements sur les exemptions seront disponibles au cours des prochains jours.
La liste des essais moléculaires acceptables se trouve à l’adresse suivante :
De plus, à compter du 22 février 2021, les voyageurs qui entrent au Canada à la frontière terrestre devront subir un test moléculaire COVID-19 à leur arrivée et vers la fin de leur quarantaine de 14 jours. Le gouvernement du Canada exploitera 16 sites de dépistage au point d’entrée partout au Canada. Cinq points d’entrée seront d’abord disponibles (voir ci-dessous) et 11 autres le 4 mars (voir ci-dessous). Le gouvernement du Canada s’efforce également de fournir à tous les autres points d’entrée des trousses de dépistage que les voyageurs peuvent prendre pour répondre à ces exigences.
Pour les voyageurs arrivant au Canada par avion
À compter du 22 février 2021, tous les voyageurs aériens, à quelques exceptions près, devront subir un test moléculaire COVID-19 à leur arrivée au Canada avant de quitter l’aéroport, et un autre vers la fin de leur période de quarantaine de 14 jours. À quelques exceptions près, les voyageurs aériens seront également tenus de réserver avant leur départ pour le Canada un séjour de trois nuits dans un hôtel autorisé par le gouvernement. Les voyageurs devront séjourner à leur hôtel réservé, à leurs propres frais, pendant qu’ils attendent les résultats de leur test d’arrivée. Cela pourrait prendre jusqu’à trois jours, mais nous espérons obtenir les résultats des tests plus rapidement.
Les renseignements sur les réservations d’hôtel seront disponibles en ligne à compter du 18 février 2021. Les voyageurs devront réserver un hôtel dans la ville où ils arrivent pour la première fois au Canada. S’ils obtiennent un résultat négatif au test d’arrivée, ils pourront prendre un vol de correspondance vers leur destination finale. Il y aura un certain nombre d’hôtels à choisir près de chacun des quatre aéroports internationaux qui acceptent des vols internationaux, à Vancouver, Calgary, Toronto et Montréal. Le cout de ces séjours à l’hôtel peut varier légèrement à chaque endroit. Il revient au voyageur de choisir l’endroit où il souhaite séjourner et de réserver avant le départ. Le prix comprendra les couts associés à la chambre, à la nourriture, au nettoyage, aux mesures de prévention et de contrôle des infections, à la sécurité et au transport.
Ces nouvelles mesures s’ajoutent aux exigences obligatoires en matière de santé et de pré-embarquement pour les passagers aériens.
Enfin, au même moment, le 22 février 2021, tous les voyageurs, qu’ils arrivent par voie terrestre ou aérienne, seront tenus de soumettre leurs renseignements de voyage et leurs coordonnées, y compris un plan de quarantaine approprié, par voie électronique au moyen d’ArriveCAN avant de traverser la frontière ou de monter à bord d’un avion. Tous les voyageurs qui arrivent au Canada doivent également continuer à soumettre des renseignements sur la COVID par voie électronique tous les jours tout au long de la période de quarantaine. Pour qu’un lieu de quarantaine soit jugé convenable, les voyageurs ne peuvent pas demeurer avec des sous-populations à risque, y compris des personnes qui travaillent dans des hôpitaux ou des établissements de soins de longue durée, des adultes de plus de 65 ans, ou des personnes immunodéprimées ou à risque de contracter des maladies plus graves. De plus, les voyageurs doivent éviter tout contact avec d’autres membres de leur ménage avec lesquels ils n’ont pas voyagé.
Cinq points d’entrée terrestres avec tests sur place au 22 février 2021
- Douglas (Colombie-Britannique)
- Coutts (Alberta)
- Pont Queenston-Lewiston, Niagara-on-the-Lake (Ontario)
- St. Bernard de Lacolle (autoroute 15), (Québec)
- Troisième pont de St Stephen (Nouveau-Brunswick)
Onze autres points d’entrée terrestres avec tests sur place au 4 mars 2021
- Pont Ambassador, Windsor (Ontario)
- Pont Blue Water, Point Edward (Ontario)
- Emerson West Lynne (Manitoba)
- Fort Erie (Peace Bridge), (Ontario)
- Huntingdon (Colombie-Britannique)
- Lansdowne (pont des Mille-Îles), Ontario
- Pacific Highway (Colombie-Britannique)
- Pont Rainbow, Niagara Falls (Ontario)
- St-Armand (Québec)
- Stanstead (route 55), Québec
- Tunnel Windsor-Détroit (Ontario)
J’étais un travailleur autonome qui a présenté une demande à la PCU en fonction de mon revenu brut (plutôt que net) de 5 000 $ et plus et on m’a envoyé une lettre disant que je devrais peut-être rembourser les fonds. Qu’a-t-on annoncé ?
La semaine dernière, le gouvernement du Canada a annoncé que les travailleurs autonomes qui ont présenté une demande de Prestation canadienne d’urgence (PCU) et qui seraient admissibles en fonction de leur revenu brut ne seront pas tenus de rembourser la prestation, à condition qu’ils satisfassent également à toutes les autres exigences d’admissibilité. La même approche s’appliquera, que la personne ait présenté une demande à l’Agence du revenu du Canada ou à Service Canada.
Cela signifie que les travailleurs autonomes dont le revenu net de travail autonome était inférieur à 5 000 $ et qui ont présenté une demande pour recevoir la PCU ne seront pas tenus de rembourser la PCU, à condition que leur revenu brut de travail autonome soit d’au moins 5 000 $ et qu’ils satisfassent à tous les autres critères d’admissibilité.
Certains travailleurs autonomes dont le revenu net de travail autonome était inférieur à 5 000 $ ont peut-être déjà remboursé volontairement la PCU. L’Agence du revenu du Canada et Service Canada rembourseront les montants remboursés à ces personnes. Des renseignements supplémentaires seront disponibles au cours des prochaines semaines.
Je suis très heureuse de cette décision, car des électeurs de ma circonscription qui se trouvaient dans cette situation ont commis une erreur de bonne foi en se fondant sur les renseignements qu’ils avaient initialement reçus de l’ARC.
Quels sont les détails de l’annonce du gouvernement au sujet de l’allègement des intérêts sur la dette d’impôt sur le revenu de 2020 attribuable au soutien du revenu lié au COVID-19 ?
Le gouvernement du Canada a récemment annoncé qu’il accordera un allègement d’intérêt ciblé aux Canadiens qui ont reçu des prestations de soutien du revenu liées à la COVID.
Une fois que les particuliers auront produit leur déclaration de revenus et de prestations de 2020, ils ne seront pas tenus de payer des intérêts sur toute dette d’impôt impayée pour l’année d’imposition 2020 avant le 30 avril 2022. Les Canadiens auront ainsi plus de temps et de souplesse pour payer s’ils ont un montant à payer.
Pour être admissibles à l’allègement d’intérêts ciblé, les particuliers doivent avoir eu un revenu imposable total de 75 000 $ ou moins en 2020 et avoir reçu un soutien du revenu en 2020 grâce à une ou plusieurs des mesures suivantes de la COVID-19 :
- La Prestation Canadienne d’Urgence (PCU)
- Prestation canadienne d’urgence pour les étudiants (PCUE)
- Prestation canadienne de la relance économique (PCRE)
- Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants (PCREPA)
- Prestation canadienne de maladie pour la relance économique (PCMRE)
- Les prestations d’assurance-emploi
- Prestations d’urgence provinciales semblables
L’Agence du revenu du Canada (ARC) appliquera automatiquement la mesure d’allègement des intérêts aux personnes qui répondent à ces critères.
De plus, les crédits et les prestations normalement payés mensuellement ou trimestriellement, comme l’Allocation canadienne pour enfants et le crédit pour la taxe sur les produits et services/taxe de vente harmonisée, ne seront pas appliqués pour réduire la dette fiscale des particuliers pour l’année d’imposition 2020. Les Canadiens sont fortement encouragés à produire leur déclaration de revenus avant la date limite de production afin de s’assurer que leurs paiements de prestations se poursuivent sans interruption.
J’ai entendu dire qu’il y avait une annonce de financement du transport en commun la semaine dernière. Qu’est-ce que cela signifie ?
Notre gouvernement a annoncé 14,9 milliards de dollars pour des projets de transport en commun au cours des huit prochaines années, ce qui comprend un financement permanent de 3 milliards de dollars par année pour les collectivités canadiennes à compter de 2026-2027. Cette annonce fournit aux villes et aux collectivités le financement prévisible du transport en commun dont elles ont besoin pour planifier l’avenir, et fait partie de notre plan visant à créer un million d’emplois, à lutter contre les changements climatiques et à rebâtir une économie plus durable et résiliente.
Ces investissements :
- Aideront les Canadiens à se déplacer plus facilement et à créer de nouveaux emplois en réalisant de grands projets de transport en commun, en fournissant des fonds de planification dédiés pour accélérer de futurs grands projets et en appuyant l’expansion des grands réseaux de transport en commun dont dépendent de nombreux Canadiens chaque jour.
- Réduiront la pollution et créeront des emplois pour les Canadiens en améliorant les réseaux de transport en commun et en les remplaçant par une énergie électrique plus propre, notamment en appuyant l’utilisation de véhicules zéro émission et l’infrastructure connexe, en complément du travail de la Banque de l’infrastructure du Canada.
- Soutiendront des modes de vie sains dans nos collectivités et répondront à la demande croissante de projets de transport actif, notamment en construisant des allées et des sentiers pour le vélo, la marche, les scooters, les vélos électriques et les fauteuils roulants.
- Aideront les Canadiens qui vivent dans les régions rurales et éloignées à se déplacer plus facilement pour se rendre au travail et en revenir, et à accéder aux services essentiels, en travaillant avec les collectivités rurales, éloignées et autochtones pour trouver et créer des solutions de transport en commun qui répondent à leurs besoins.
- Appuieront nos villes et nos collectivités en prenant un engagement fédéral permanent et stable à l’égard du financement du transport en commun, et faciliter les partenariats entre tous les ordres de gouvernement, les collectivités autochtones, les des organismes de transport en commun et d’autres intervenants afin d’élaborer une approche du financement permanent du transport en commun qui offre les plus grands avantages aux Canadiens.
Investir dans les infrastructures de transport en commun permettra de bâtir des collectivités fortes partout au pays et d’offrir une meilleure qualité de vie à tous les Canadiens. Le gouvernement continuera d’investir dans les projets qui soutiennent le mieux notre reprise, créent des emplois pour la classe moyenne et la croissance économique, et nous aident à atteindre nos objectifs climatiques. Ensemble, nous pouvons créer un Canada plus propre, plus concurrentiel et plus résilient pour les générations à venir.
Si vous avez des questions ou commentaires sur l’un ou l’autre des ces sujets, n’hésitez pas à communiquer avec nous en suivant ce lien : Contact
Laisser un commentaire